Des sommets confidentiels à plus de 7000 m au Népal ou en Inde aux sommets classiques entre 6000 et 8000 m, découvrez de quoi sera fait notre saison Himalayenne en 2025.
Nous partons gravir le Kun (7077 m), au Ladakh. Son ascension se réalise le long de l'arête nord-est. Elle offre un parcours technique, mais sans risques objectifs. Deux semaines complètes sont consacrées à l'ascension. Trois camps d'altitude sont ensuite nécessaires pour gravir la montagne.
Dossier sur l’iconique Ama Dablam à 6812 mètres au Népal recélant d’informations actualisées concernant l’histoire de ce sommet mythique, les saisons, le trek au camp de base, son itinéraire d’ascension, la préparation et les compétences requises.
Gravissant régulièrement le pic Lénine à 7134 mètres depuis une dizaine d’années, nous avons gravi récemment le pic Korjenevskaya à 7105 mètres. À l’été prochain, nous tentons l’ascension du pic Khan Tengri à 7010 mètres par le versant nord.
Nous étoffons notre offre d’ascensions himalayennes à plus de 7000 mètres. D’abord un 7000 « indien » au Ladakh, le Kun, juste à côté de son frère jumeau le Nun, est LE sommet à tenter en Inde. Puis dans la région du Dolpo en Inde, le Putha Hiunchuli est l’un des sommets les moins techniques du pays.
Jeune aventurier français, Matthieu Tordeur a déjà mené des expéditions dans plus de 90 pays. Membre de la Société des Explorateurs Français, il est notamment le plus jeune au monde à avoir atteint le pôle Sud en solitaire sans assistance et sans ravitaillement en janvier 2019, dans un périple de 51 jours à ski pulka.
Accompagnés par le guide Manu Poudelet, nous partons pour une traversée en ski pulka de Kangerlussuaq à Sissimiut, soit environ 160 km le long de l’Arctic Circle Trail.
Il aura fallu au total cinquante ans pour gravir le toit du monde. L’expédition de 1938 a été la dernière menée par les Britanniques sur la face nord de l’Everest. La conquête des pôles leur a échappé. Les Français, adversaires de toujours, leur ont ravi le premier 8 000. Il suffit. Il leur faut gravir l’Everest. Dans ce second et dernier épisode sur la conquête de l'Everest, Jean-Michel Asselin revient sur l'ascension victorieuse d'Edmund Hillary et Tensing Norgay le 29 mai 1953.
Pionniers dans notre secteur dans la réalisation de web-conférences, forts d'une communauté de passionnés sur notre chaine Youtube, à l'occasion de la journée mondiale de la radio le 12 février, nous avons lancé notre chaîne de podcast dédiée au monde du voyage d'aventure et nature, du trek, de l'exploration et des expéditions extrêmes.
3 juin 1950, 14 heures, 8 091 m. Maurice Herzog et Louis Lachenal se photographient au sommet du premier 8 000 jamais gravi par l’homme. Quelques minutes de gloire, mais à quel prix ? Si Maurice Herzog a plutôt bien survécu au terrible drame de la descente et en a tiré célébrité et honneurs, on ne peut en dire autant de Lachenal, condamné au silence au nom de l’honneur de la République. Pour démêler le vrai du faux, il faut prendre le temps de se pencher sérieusement sur les écrits de chacun afin d’aller au-delà du mythe.
Nous sommes partis pour une expédition inédite, que très peu d'occidentaux ont réalisée. Cette randonnée chamelière au long cours démarre de Chinguetti, au nord de la Mauritanie, et rejoint Boutilimit au sud.
14 décembre 2021Himalaya, Alpinisme, Quatorze 8000
Pour accéder à la cime du Kangchenjunga, il aura fallu cinquante-six ans d’efforts intenses. Finalement, en 1955, c’est bien l’itinéraire initié par Crowley qui apporte la clé du succès aux Britanniques George Band et Joe Brown. Nous vous faisons revivre ces années intenses.
Guidés par Henk-Jan Geel, nous partons pour une expédition dans un environnement polaire extraordinairement beau et sauvage. L'une des plus belles expériences que l’on puisse vivre en Antarctique.
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